I am the Good Shepherd

Wednesday 08 January 2020


« I am the Gate for the sheep. Whoever comes in by me will be saved ; they will come in and go out and find pasture. I have come in order that you might have life – life in all its fullness. I am the Good Shepherd who is willing to die for the sheep. I am the Good Shepherd ; As the Father knows me and I know the Father, in the same way I know my sheep and they know me. And I am willing to die for them. » (John 10)

 Jesus presents Himself as the « Gate of the sheep ». It is from this verse that is born all the symbolism of the Holy Gate ; this Gate, which during the major jubilee years celebrated by the Church, remains open day and night, so that pilgrims may pass through… and thus pass symbolically through to a new life, to a stage of conversion. In general, the Holy Gate is chosen with reference to the sanctuaries and the most important cathedrals in the Diocese. When the great Jubilee of the Year 2000 in Rome, on January 6th 2001, was closed, a solemn Mass had been celebrated on st Peter’s Square by John Paul II. During the celebrations , there was the closure of the Holy Gate of st Peter’s Basilica… This Gate through which countless faithful had passed during the year 2000. In his homily, John Paul II was to say : « with the closure of the Holy Gate, it is a symbol of Christ which is closing. But the Heart of Jesus remains more than ever open, saying to contemporary humanity, which is constantly in quest of meaning and hope : « Come to Me all of you who are tired from carrying heavy loads… » (Matthew 11). » These very profound words of John Paul II help us to view the ever open Heart of Jesus as the Holy Gate par excellence, which allows us to gain access to this divine « Pasture », which the Gospel, that we have quoted, talks of… to the unfathomable mystery of Trinitarian Love.

Prayer :

Heart of Jesus, House of God and Gate to Heaven, we adore You. (from the litanies of the Sacred Heart.)

Lectures du Wednesday 08 January 2020


Année liturgique A

noel

Mercredi après l'Épiphanie

Fete : de la férie

Messe du jour

Première lecture

« Si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous »

Lecture de la première lettre de saint Jean - 1 Jn 4, 11-18

Bien-aimés,
puisque Dieu nous a tellement aimés,
nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.
Dieu, personne ne l’a jamais vu.
Mais si nous nous aimons les uns les autres,
Dieu demeure en nous,
et, en nous, son amour atteint la perfection.
Voici comment nous reconnaissons
que nous demeurons en lui
et lui en nous :
il nous a donné part à son Esprit.
Quant à nous, nous avons vu et nous attestons
que le Père a envoyé son Fils
comme Sauveur du monde.

Celui qui proclame que Jésus est le Fils de Dieu,
Dieu demeure en lui,
et lui en Dieu.
Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous,
et nous y avons cru.
Dieu est amour :
qui demeure dans l’amour demeure en Dieu,
et Dieu demeure en lui.
Voici comment l’amour atteint, chez nous, sa perfection :
avoir de l’assurance au jour du jugement ;
comme Jésus, en effet, nous ne manquons pas
d’assurance en ce monde.
Il n’y a pas de crainte dans l’amour,
l’amour parfait bannit la crainte ;
car la crainte implique un châtiment,
et celui qui reste dans la crainte
n’a pas atteint la perfection de l’amour.

– Parole du Seigneur.

Psaume

Tous les rois se prosterneront devant lui,
tous les pays le serviront.

Ps 71, 11

Dieu, donne au roi tes pouvoirs,
à ce fils de roi ta justice.
Qu'il gouverne ton peuple avec justice,
qu'il fasse droit aux malheureux !

Les rois de Tarsis et des Iles apporteront des présents.
Les rois de Saba et de Seba feront leur offrande.
Tous les rois se prosterneront devant lui,
tous les pays le serviront.

Il délivrera le pauvre qui appelle
et le malheureux sans recours.
Il aura souci du faible et du pauvre,
du pauvre dont il sauve la vie.

Evangile

« Ils le virent marcher sur la mer »

Alléluia, Alléluia.
Louange à toi, Jésus Christ,
manifesté dans la chair,
proclamé parmi les nations,
reconnu dans le monde.
Alléluia.

cf. 1 Tm 3, 16

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc - Mc 6, 45-52

Aussitôt après avoir nourri les cinq mille hommes,
Jésus obligea ses disciples à monter dans la barque
et à le précéder sur l’autre rive, vers Bethsaïde,
pendant que lui-même renvoyait la foule.
Quand il les eut congédiés,
il s’en alla sur la montagne pour prier.
Le soir venu, la barque était au milieu de la mer
et lui, tout seul, à terre.
Voyant qu’ils peinaient à ramer,
car le vent leur était contraire,
il vient à eux vers la fin de la nuit
en marchant sur la mer,
et il voulait les dépasser.
En le voyant marcher sur la mer,
les disciples pensèrent que c’était un fantôme
et ils se mirent à pousser des cris.
Tous, en effet, l’avaient vu et ils étaient bouleversés.
Mais aussitôt Jésus parla avec eux et leur dit :
« Confiance ! c’est moi ; n’ayez pas peur ! »
Il monta ensuite avec eux dans la barque
et le vent tomba ;
et en eux-mêmes
ils étaient au comble de la stupeur,
car ils n’avaient rien compris au sujet des pains :
leur cœur était endurci.

– Acclamons la Parole de Dieu.

Lectures extraites du site de l'AELF

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