Lundi

lundi 23 mars 2020

Pas de regrets


Combattons contre de nouveaux ennemis de la gratitude et tout d’abord les regrets : ‘‘Si j’avais eu d’autres parents, si j’avais eu un frère aîné, si j’avais grandi ailleurs, cela ne me serait pas arrivé, je n’aurai pas réagi comme cela.’’ Nous n’avons aucune prise sur les évènements passés ! Ils sont écrits, une fois pour toute, et les regretter nous maintient dans la plainte et le ressentiment, l’amertume, voire la victimisation.

Action : Aujourd’hui, je médite sur 10 beaux moments de ma vie. Je choisis un événement qui pouvait sembler négatif et qui m’a conduit à une expérience que je n’aurai jamais pensé vivre.

Lectures du lundi 23 mars 2020


Année liturgique

careme

4ème Semaine de Carême

de la férie

Fete : S. Turibio de Mogrovejo, évêque

Messe du jour

Première lecture

« On n’y entendra plus de pleurs ni de cris »

Lecture du livre du prophète Isaïe - Is 65, 17-21

Ainsi parle le Seigneur :
Oui, voici : je vais créer
un ciel nouveau et une terre nouvelle,
on ne se souviendra plus du passé,
il ne reviendra plus à l’esprit.
Soyez plutôt dans la joie, exultez sans fin
pour ce que je crée.
Car je vais recréer Jérusalem,
pour qu’elle soit exultation,
et que son peuple devienne joie.
J’exulterai en Jérusalem,
je trouverai ma joie dans mon peuple.
On n’y entendra plus de pleurs ni de cris.
Là, plus de nourrisson emporté en quelques jours,
ni d’homme qui ne parvienne au bout de sa vieillesse ;
le plus jeune mourra centenaire,
ne pas atteindre cent ans sera malédiction.
On bâtira des maisons, on y habitera ;
on plantera des vignes, on mangera leurs fruits.

– Parole du Seigneur.

Psaume

Je t’exalte, Seigneur : tu m’as relevé.

29, 2a

Je t’exalte, Seigneur : tu m’as relevé.
Quand j’ai crié vers toi, Seigneur.
Seigneur, tu m’as fait remonter de l’abîme
et revivre quand je descendais à la fosse.

Fêtez le Seigneur, vous, ses fidèles,
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Sa colère ne dure qu’un instant, sa bonté, toute la vie ;
avec le soir, viennent les larmes,
     mais au matin, les cris de joie.

Et j’ai crié vers toi, Seigneur,
j’ai supplié mon Dieu.
Tu as changé mon deuil en une danse.
Que sans fin, Seigneur, mon Dieu, je te rende grâce !

Evangile

« Va, ton fils est vivant »

 Ta parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance.

Cherchez le bien, non le mal, afin de vivre.
Ainsi le Seigneur sera avec vous.
Ta parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance.

cf. Am 5, 14

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean - Jn 4, 43-54

En ce temps-là,
après avoir passé deux jours chez les Samaritains,
Jésus partit de là pour la Galilée.
– Lui-même avait témoigné
qu’un prophète n’est pas considéré dans son propre pays.
Il arriva donc en Galilée ;
les Galiléens lui firent bon accueil,
car ils avaient vu tout ce qu’il avait fait
à Jérusalem pendant la fête de la Pâque,
puisqu’ils étaient allés eux aussi à cette fête.
Ainsi donc Jésus revint à Cana de Galilée,
où il avait changé l’eau en vin.
Or, il y avait un fonctionnaire royal,
dont le fils était malade à Capharnaüm.
Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée,
il alla le trouver ;
il lui demandait de descendre à Capharnaüm
pour guérir son fils qui était mourant.
Jésus lui dit :
« Si vous ne voyez pas de signes et de prodiges,
vous ne croirez donc pas ! »
Le fonctionnaire royal lui dit :
« Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure ! »
Jésus lui répond :
« Va, ton fils est vivant. »
L’homme crut à la parole que Jésus lui avait dite
et il partit.
Pendant qu’il descendait,
ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre
et lui dirent que son enfant était vivant.
Il voulut savoir à quelle heure il s’était trouvé mieux.
Ils lui dirent :
« C’est hier, à la septième heure (au début de l’après- midi),
que la fièvre l’a quitté. »
Le père se rendit compte que c’était justement
l’heure où Jésus lui avait dit :
« Ton fils est vivant. »
Alors il crut, lui, ainsi que tous les gens de sa maison.

Tel fut le second signe que Jésus accomplit
lorsqu’il revint de Judée en Galilée.

– Acclamons la Parole de Dieu.

Lectures extraites du site de l'AELF

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